D-Glucarate de Calcium: Détoxification œstrogène

• Peut aider le corps à éliminer le surplus d’œstrogène
• Inhibe l’activité de la beta-glucoronidase dans le corps
• Important pour les femmes ménopausées

De l’utérus à la tombe, nous sommes sujettes aux effets de l’œstrogène, la puissante hormone féminine qui façonne notre vie. Les variations du taux d’œstrogène peuvent avoir un effet spectaculaire sur notre développement cellulaire. Biovea est fier de présenter un élément nutritif susceptible d’aider le corps à éliminer le surplus d’œstrogène, soulageant ainsi les tissus sensibles à l’œstrogène. Le D-glucarate de calcium fait actuellement l’objet de nombreuses études cliniques. Il se révèle avoir un grand potentiel pour s’attaquer aux problèmes de santé qui nous tiennent le plus à cœur.

L’une des actions équilibrantes les plus délicates de la vie se trouve dans le flux et le reflux d’hormones, qui ont lieu constamment dans le corps. Ces substances chimiques messagères sont indispensables au processus de la vie. Produites par les glandes endocrines, les hormones se déplacent dans tout le corps, communiquant entre elles tandis qu’elles dirigent l’activité cellulaire. Par exemple, la glande hypothalamus contrôle les taux d’hormones dans le corps. Elle envoie des signaux à la glande pituitaire, lui conseillant d’envoyer des messages aux ovaires pour qu’ils produisent ou arrêtent de produire de l’œstrogène.

L’œstrogène est une hormone extrêmement puissante, dont l’activité peut être mesurée en partie en trillions. Par conséquent, il suffit de peu pour créer un déséquilibre. Comme toutes les hormones, l’œstrogène communique avec une cellule en s’accrochant sur un récepteur particulier de la membrane de cette cellule. S’il y a trop de récepteurs sensibles à l’œstrogène ou trop d’œstrogène circulant dans le sang, le métabolisme cellulaire normal peut être modifié. Un autre problème est que les récepteurs d’œstrogène ne sont pas très exigeants ; ils acceptent de nombreuses substances chimiques, naturelles et synthétiques, autres que l’œstrogène.

Comment le corps élimine le surplus d’œstrogène

L’un des processus par lesquels l’œstrogène et les composés œstrogéniques sont métabolisés et dégradés est la glucoronidation. Dans le foie, ils sont liés à l’acide glucoronique, puis excrétés dans l’urine ou les selles. Ce processus peut être perturbé par une enzyme appelée beta-glucoronidase, que l’on trouve dans l’appareil gastro-intestinal. Elle libère l’œstrogène ou le composé œstrogénique lié, afin qu’il soit réabsorbé dans le sang, pour agir à nouveau sur les cellules. Évidemment, le corps a besoin d’œstrogène ; cependant, un surplus peut perturber les cellules. Puisqu’il peut être très difficile d’éviter les substances chimiques endémiques de notre environnement, il faut une autre stratégie, celle de réduire les effets négatifs en aidant la capacité naturelle du corps à éliminer le surplus d’œstrogène et d’autres hormones et toxines.

Le D-Glucarate de Calcium et le métabolisme hormonal

L’élimination du surplus d’œstrogène peut être accrue par une substance naturelle, appelée D-glucarate de calcium (DGC), parce qu’il inhibe l’activité de la beta-glucoronidase dans le corps. Cela signifie que l’œstrogène lié pour l’excrétion reste lié et la charge totale d’œstrogène du corps est réduite. Des essais cliniques ont montré que les tissus sensibles à un surplus d’hormones, tels que la poitrine, le foie et les poumons, répondent favorablement au DGC. Outre l’œstrogène et les composés œstrogéniques, le DGC aide à favoriser l’excrétion d’autres métabolites hormonaux, ainsi que de toxines cellulaires et de stéroïdes. Le DGC est fabriqué naturellement en faible quantité dans le corps ; on le trouve également dans divers fruits et légumes : oranges, brocoli, carottes, épinards et pommes. Il a été montré que la vitamine A a un effet synergétique avec le DGC. Un comprimé de 500 mg de D-glucarate de calcium de Biovea est l’équivalent de l’activité de phytonutriments trouvés dans 82 livres de fruits et légumes frais. L’utilisation suggérée pour la prévention et l’entretien de la santé est de 3 à 4,5 grammes par jour. Aucune toxicité n’a été trouvée avec cette utilisation.

Les phytonutriments aident également à réduire l’exposition à l’œstrogène

Une autre stratégie pour réduire les effets d’un surplus d’œstrogène est de diminuer la consommation d’œstrogènes des plantes. Cela est utile pour deux raisons. En premier lieu, en occupant les zones des récepteurs d’œstrogènes, ces composés œstrogéniques naturels empêchent les œstrogènes synthétiques de s’attacher à ces zones. En second lieu, les phytœstrogènes n’activent que modérément les récepteurs.

L’un des meilleurs phytœstrogènes est la génistéine, l’isoflavone présente dans les graines de soja, responsable de l’influence bénéfique du soja sur le corps humain. Une augmentation de la consommation de génistéine et/ou de soja est recommandée par de nombreux professionnels de la santé, en particulier pour les femmes ménopausées.

Alors que de nouvelles recherches font la lumière sur l’importance d’un bon équilibre hormonal pour notre santé, il est vital de nous protéger contre le fardeau grandissant de l’œstrogène, auquel nous sommes confrontés aujourd’hui. Le D-glucarate de calcium de Biovea est un élément nutritif opportun, qui peut faire une vraie différence dans notre vie.